L'audit sur les postes de garde est très attendu car, comme l'a rappelé Maggie De Block à la Chambre récemment, "les résultats formeront la base de la politique future concernant les postes de garde". Pour la ministre qui rappelle que les postes de garde furent au départ des projets-pilotes qui ont réussi, sont de taille très variable (petits, moyens, gros) et ne sont pas tous coût-efficacité. Il faut donc s'assurer qu'ils assument leur mission de continuité des soins et qu'ils soient "rentables".

C'est pour répondre à ces questions lancinantes que l'audit a été temporairement "gelé".

Les résultats sont en ce moment étudiés non par la taskforce mais par la cellule ad hoc au cabinet De Block et à l'Inami pour mettre au point une vision à long terme sur les postes de garde qui fait partie de la vision sur les soins "non-planifiables". Dès lors, la collaboration avec les services d'urgence des hôpitaux prend aussi tout son sens.

La taskforce soins non-planifiables s'est réunie les 9 et 30 juin et se réunira encore une fois ce vendredi. Il y sera également question du 1733.

Une fois l'audit analysé, la ministre sera prête à répondre à "toutes les questions".

L'audit a été réalisé en ouverture avec tous les postes de garde même si seulement certains d'entre eux ont répondu. Mais ils sont suffisamment nombreux à avoir répondu pour que les résultats soient significatifs.

Une fois l'aspect coût-efficacité réglé pour tous les postes de garde, l'idée est d'avancer sur la création de nouveaux postes en harmonisant quelque peu car pour le moment, "il y a d'énormes différences sur le plan de l'investissement, les voitures, les chauffeurs, les services, les heures d'ouverture, la continuité de la formation, le personnel présent, etc. Certains travaillent seuls, d'autres en collaboration avec des services d'urgence..."

L'audit sur les postes de garde est très attendu car, comme l'a rappelé Maggie De Block à la Chambre récemment, "les résultats formeront la base de la politique future concernant les postes de garde". Pour la ministre qui rappelle que les postes de garde furent au départ des projets-pilotes qui ont réussi, sont de taille très variable (petits, moyens, gros) et ne sont pas tous coût-efficacité. Il faut donc s'assurer qu'ils assument leur mission de continuité des soins et qu'ils soient "rentables". C'est pour répondre à ces questions lancinantes que l'audit a été temporairement "gelé". Les résultats sont en ce moment étudiés non par la taskforce mais par la cellule ad hoc au cabinet De Block et à l'Inami pour mettre au point une vision à long terme sur les postes de garde qui fait partie de la vision sur les soins "non-planifiables". Dès lors, la collaboration avec les services d'urgence des hôpitaux prend aussi tout son sens. La taskforce soins non-planifiables s'est réunie les 9 et 30 juin et se réunira encore une fois ce vendredi. Il y sera également question du 1733. Une fois l'audit analysé, la ministre sera prête à répondre à "toutes les questions". L'audit a été réalisé en ouverture avec tous les postes de garde même si seulement certains d'entre eux ont répondu. Mais ils sont suffisamment nombreux à avoir répondu pour que les résultats soient significatifs. Une fois l'aspect coût-efficacité réglé pour tous les postes de garde, l'idée est d'avancer sur la création de nouveaux postes en harmonisant quelque peu car pour le moment, "il y a d'énormes différences sur le plan de l'investissement, les voitures, les chauffeurs, les services, les heures d'ouverture, la continuité de la formation, le personnel présent, etc. Certains travaillent seuls, d'autres en collaboration avec des services d'urgence..."