Depuis des décennies, il est fréquent que des sportives bénéficiant de taux de testostérone anormalement élevés dominent de la tête et des épaules le sport féminin.
Face aux performances des athlètes intersexuées, hyperandrogènes et transgenres dans le sport féminin, la création d'une catégorie qui leur serait réservée semble inéluctable.