Cette étude identifie une nouvelle classe de biomarqueurs de l'épilepsie et révèle l'existence potentielle de structures moléculaires prodromiques dans le sang qui pourraient permettre de prédire le risque de convulsions, avant la survenue de la crise.
Des chercheurs écossais ont découvert, dans la rétine, des cellules responsables de ce syndrome du décalage horaire. De quoi espérer effacer, à l'aide d'un simple collyre, les désagréments des voyages au long cours.