Si l'on se base sur les données épidémiologiques, le variant omicron semble moins virulent que ses prédécesseurs. Des analyses de laboratoire le confirment... et l'expliquent.
La prise en charge du syndrome du côlon irritable (SCI) ne cesse de bouger. Comme les mécanismes multifactoriels sous-jacents sont de mieux en mieux compris, le paysage thérapeutique évolue également.