Tout sur Pierre-Yves Dermagne

Cinq thématiques ont été balayées lors du débat organisé à trois jours des élections par santhea. Autour de la table, Laurent Heyvaert (Ecolo), Thierry Lessire (Défi), Pierre-Yves Dermagne (PS), Lucien Bodson (les Engagés) et Richard Fournaux (MR) ont, une dernière fois sans doute avant dimanche, abordé les différences entre leurs partis - quand il y en a - concernant la santé.

La ministre wallonne de la Santé, Christie Morreale, a déposé un projet de décret ayant trait à "la promotion de la santé et la prévention" qui a été soumis au vote du parlement wallon mercredi.

Deux dossiers chauds qui font l'actualité rappellent la nécessité de protéger les données médicales même si l'intention de celui qui veut les utiliser semble, à première vue, louable.

L'Association belge du diabète a proposé de rencontrer Pierre-Yves Dermagne afin de lui exposer son point de vue sur le projet de loi controversé (lire en Une). Interrogé par l'agence Belga, le ministre de l'Économie s'est engagé à prendre en compte les critiques exprimées sur ce texte.

Pour l'Association belge du diabète, un avant-projet de loi relatif " au traitement des données à caractère personnel concernant la santé " menace le secret médical. En outre, ce texte ne respecterait pas le règlement général européen sur la protection des données. Le ministre Dermagne a déclaré être disposé à tenir compte des remarques des associations de patients.

La Vivaldi, qui peine tant à produire une musique harmonieuse, a réussi à s'entendre sur l'obligation vaccinale des soignants presqu'un an après la disponibilité des vaccins contre le Covid19. Je me pose les questions des raisons de cette soudaine union politique. Quelles sont-elles? Pourquoi imposer un vaccin dont l'objectif - le seul- est de limiter les formes graves de la maladie?

Le gouvernement fédéral s'est accordé, vendredi peu avant 21h00, sur l'obligation vaccinale des soignants. Selon une version de l'accord reçue dans la soirée du cabinet du vice-Premier ministre PS, Pierre-Yves Dermagne, il n'y aura finalement pas, sous certaines conditions, de licenciement des travailleurs qui ne seraient pas vaccinés à partir du 1er avril, mais la poursuite de la suspension du contrat de travail sans revenu.

Après avoir été approuvée en deuxième lecture en Commission Santé publique de la Chambre, la loi sur les réseaux hospitaliers a été votée le 18 mars en plénière. "Il s'agit d'une excellente nouvelle pour les hôpitaux qui étaient entravés dans leurs efforts de mise en réseau", se réjouissent le ministre de la Santé publique, Frank Vandenbroucke, et le ministre de l'Emploi et de l'Economie, Pierre-Yves Dermagne.

"Bien que de nombreux médecins aient été forcés par le Comité Hospital & Transport Surge Capacity (HTSC) de réduire fortement voire d'interrompre leurs activités médicales, ils ne pourront plus réclamer ce revenu de remplacement après le 31 août 2020. Entretemps, le gouvernement a doublé les montants du droit passerelle auquel des indépendants issus d'autres professions ont droit. Il serait logique que non seulement le droit passerelle s'applique aux médecins mais que ces derniers bénéficient également du doublement des montants y afférents."

Jeudi 30 janvier, le Centre hospitalier Reine Astrid Malmedy (Chram) organisait une conférence de presse pour dévoiler sa nouvelle identité, ses ambitions, et motiver son choix de rejoindre le réseau hospitalier public liégeois. Quelques heures plus tard, le ministre wallon des Pouvoirs publics, Pierre-Yves Dermagne (PS), annulait la décision de l'Assemblée générale de la clinique relative à la désignation des membres de son Conseil d'administration (CA), suite à un recours introduit par le CHC. De quoi remettre en cause les décisions prises ?

Le gouvernement a décidé de placer l'Intercommunale de santé publique du Pays de Charleroi (ISPPC) sous tutelle. Pierre-Yves Dermagne (PS), ministre des Pouvoirs locaux et le ministre-président wallon Paul Magnette (PS) ont décidé d'y envoyer un manager de crise.

Médecine

Clinical Update

Article du magazine

La prévalence de l'asthme est toujours en augmentation dans notre pays, et tout particulièrement chez les enfants au nord du sillon Sambre-et-Meuse - la faute en revient sans doute à une densité de population et à un degré de pollution atmosphérique plus élevés. Dans ce contexte, plus que jamais, le choix d'un traitement adapté et la garantie d'un bon suivi sont d'une importance majeure.