Le ministre de l'Emploi, Kris Peeters (CD&V), a annoncé dans Le Soir du 12 janvier qu'il souhaite introduire rapidement un " droit à l'oubli " en matière médicale. Le PS a également déposé une proposition de loi en ce sens.
Les médecins font face à un nombre croissant de violences verbales, psychologiques, physiques, voire sexuelles, dans le cadre de leur profession. Quel impact ces agressions peuvent-elles avoir? Et comment (mieux) les gérer?
La Cour constitutionnelle s'est récemment prononcée sur le recours en annulation introduit à l'encontre de la disposition législative autorisant les pharmaciens à administrer le vaccin contre le coronavirus[1].