Régulièrement, y compris à la faveur des bulletins météo, on nous rappelle que le taux de particules fines peut atteindre des pics contre lesquels il est sage de se mettre au moins un peu à l'abri. Mais il existe aussi des particules ultrafines qui échappent à la plupart des appareils de mesure et qui n'en sont pas moins dommageables pour la santé : asthme, cancer pulmonaire et maladies cardiovasculaires y seraient associés. Les démences séniles leur devraient aussi une part de leur incidence.