Le principal enseignement qu'on peut tirer des élections médicales 2023 est la poussée substantielle de la participation (de 24 à 35% environ, et même 54% si on ne compte que les médecins réellement actifs, soit 39.000 et non 59.000, dénominateur très généreux et très disqualifiant utilisé par l'Inami). On a donc arrêté la chute, telle est la nouvelle. Et elle est bonne car les politiciens ne pourront plus dire que les syndicats médicaux ne représentent pas les médecins.