Le Collège de médecine générale (CMG) bat en brèche les discussions passées autour de la définition du nombre de médecins généralistes pour le futur. Les numéros Inami, l'examen d'entrée, les quotas et les comparaisons avec la Flandre tournent à vide. Pour le CMG, il faut plus que " des mesures partielles à court terme " grâce à " l'élaboration d'un plan stratégique de développement de santé publique à l'échelon fédéral, régional et communautaire avec une vision cohérente et à long terme (20 ans) basée sur une évaluation scientifique des besoins de la population en santé ".