Tout sur Mickaël Daubie

C'est un peu l'adage de la nouvelle médecine. Au revoir le médecin soliste qui accouchait ses patientes. Place à la concertation, la délégation et la prise en charge multidisciplinaire. Et place également au patient. Au revoir le travail en silos. Place aux réseaux, au partage des données entre prestataires. Des changements louables d'un point de vue santé publique, même si cela ne se fait pas sans heurts.

Il est des sujets comme des ritournelles, ce que l'on appelle en journalisme péjorativement des "marronniers": le sujet du financement des postes médicaux de garde (PMG) commence à en faire partie. Il est en effet récurrent que l'on se penche sur le financement des PMG. La différence cette fois est que le problème a été pris à bras le corps par la médico-mut.

Il est des sujets comme des ritournelles, ce que l'on appelle en journalisme péjorativement des " marronniers " : le sujet du financement des postes médicaux de garde (PMG) commence à en faire partie. Il est en effet récurrent que l'on se penche sur le financement des PMG. La différence cette fois est que le problème a été pris à bras le corps par la médico-mut.

Dès le début de sa carrière à l'Inami, en 2004, Mickaël Daubie a occupé diverses fonctions au sein du Service des soins de santé (SDSS). Économiste de formation, il s'est rapidement intéressé aux réformes dans le secteur hospitalier, entre autres, au financement de l'hôpital de jour et aux soins à basse variabilité. L'équipe de direction est donc au complet à l'Inami après moult interims.