En mars dernier, je me suis positionné en faveur du confinement pour endiguer l'épidémie. Nous étions face à une maladie inconnue et les informations nous parvenant du Nord de l'Italie - dont le système de santé peut être comparé au nôtre- étaient inquiétantes. Rappelons-nous que face à l'afflux massif des patients, les médecins italiens ont dû restreindre l'accès aux Soins Intensifs, et n'ont pas eu d'autre choix que de laisser certains patients sans soins.