"Ce qui me préoccupe, ce sont ces médecins qui ont besoin de boire dès le matin ou chez qui la consommation d'alcool provoque des oublis. C'est problématique pour eux, mais aussi pour leurs patients... et comme ils restent très attachés à leur statut, demander de l'aide est difficile pour eux", commente le Pr Kris Van den Broeck, psychologue clinique, titulaire de la chaire professorale "Public Mental Health" de l'université d'Anvers et directeur de la "Vlaamse Vereniging voor Psychiatrie".