Le discrédit autour du test antigène prostatique spécifique (PSA) est remis en cause depuis l'an dernier. Le PSA, corrélé avec d'autres indicateurs, permet une stratégie de prévention efficace, à l'instar de ce qui est réalisé pour le cancer colorectal. "Cela permet d'éviter le sur-diagnostic et de se concentrer sur les patients qui potentiellement peuvent mourir de leur cancer", estime le Dr Kim Entezari, chef du service d'urologie au CHU St-Pierre. La première ligne tient un rôle clé dans la diffusion d'une bonne information à son patient, et dans le monitoring de celui-ci.