Mercredi dernier, le Conseil national de sécurité (CNS) a décidé d'autoriser, sous conditions, les visites d'un proche aux résidents des maisons de repos et des centres pour personnes handicapées afin de lutter contre la détresse psychologique générée par l'isolement. Une décision fortement critiquée et pour cause : le dépistage n'est pas encore terminé et les foyers d'infections demeurent. Des solutions alternatives se mettent toutefois en place.