Tout sur Jean Creplet

Les représentants des médecins ne peuvent perdre de vue l'importance de la liberté de choix, celle des malades et celle des médecins. Une liberté concrète, pragmatique, n'empêchant nullement le politique d'assumer son rôle de gardien de notre toujours bon et toujours améliorable système de soins de santé.

Jean Creplet poursuit et conclut sa réflexion sur l'hôpital du futur, telle qu'il l'a livrée au congrès de l'Amgix (Association des médecins généralistes d'Ixelles-Etterbeek). Devant des patients et des médecins de plus en plus connectés au monde digital, on assiste à une révolution de l'approche médicale. Les conseils médicaux sont au pied du mur face à l'inévitable nouvelle culture managériale qui se développe.

15.000 patients survivent en Belgique chaque année, grâce l'implantation d'un pace-maker. Mais qu'en est-il du suivi? Est-il meilleur à l'hôpital ou à distance? Pour le Centre fédéral d'expertise des soins de santé (KCE), les deux suivis sont qualitativement équivalents. Mais le second n'est pas remboursé par l'Assurance-maladie. D'où la proposition de le rembourser temporairement afin "d'éclaircir les nombreuses incertitudes autour de son utilisation effective".

Le Dr Jean Creplet termine la saison 3 de ses réflexions sur la philosophie et la médecine (La démocratie au bord du gouffre) en appelant à la signature d'un "gentleman agreement" entre médecins.

Le Dr Jean Creplet entame la troisième saison de ses réflexions sur la philosophie et la médecine intitulée "la démocratie au bord du gouffre". Il démarre la saison par les réflexions d'un entrepreneur-philanthrope de ses amis.

Quels sont les problèmes de santé pour lesquels les besoins des patients et/ou de la société demeurent importants ? Comment déterminer les priorités de la recherche ? C'est pour répondre à ces questions que le Centre fédéral d'expertise de soins de santé (KCE) et Sciensano, avec plusieurs autres institutions fédérales, ont élaboré "NEED", un cadre identifiant les besoins non rencontrés en termes de santé.

La cellule de veille sanitaire du Collège de médecine générale de Belgique francophone (CMG) interpelle les pouvoirs publics au niveau fédéral et régional : "Les médecins généralistes sont empêchés de réaliser leur travail préventif et curatif lors d'une suspicion de coqueluche. La répartition des compétences entre niveaux de pouvoir complique la tâche."

Le comité de l'assurance de l'Inami examinera ce lundi une série de propositions de refinancement de la médecine générale du ministre Vandenbroucke pour un montant total de 55 millions d'euros tenant compte d'une partie du refinancement de la psychologie de 1ère ligne qui est censée collaborer au sein des cabinets des médecins généralistes... Mais il s'agit en réalité d'une série de promesses contenues dans l'accord médico-mut 2024-2025. L'Absym n'hésite pas à les qualifier de "poudre aux yeux" (lire encadré).