Pas pour tous les joueurs, selon une étude publiée récemment dans la revue "JAMA Neurology". Alors que les joueurs de champ auraient quatre fois plus de risque que la population générale de développer une maladie neurodégénérative, aucune augmentation significative de ce risque n'a été mise en évidence chez les gardiens de but. Financée notamment par la Fédération anglaise de football, cette étude menée par des chercheurs de l'Université de Glasgow sur un grand nombre d'anciens footballeurs professionnels démontre les conséquences à long terme du jeu de tête.