Les pharmaciens belges ont déjà écoulé pas moins de 300.000 autotests pour le coronavirus, soit en moyenne 100.000 par semaine, rapportaient mardi dernier De Morgen et Het Laatste Nieuws.
Les médecins font face à un nombre croissant de violences verbales, psychologiques, physiques, voire sexuelles, dans le cadre de leur profession. Quel impact ces agressions peuvent-elles avoir? Et comment (mieux) les gérer?
La Cour constitutionnelle s'est récemment prononcée sur le recours en annulation introduit à l'encontre de la disposition législative autorisant les pharmaciens à administrer le vaccin contre le coronavirus[1].