Les mutuelles, sous l'égide de l'Agence intermutualiste (AIM), et les médecins ont conclu un accord hier. Les chirurgiens plasticiens s'engagent théoriquement à ne pas demander de suppléments en chambre commune ou à deux lits et à respecter un plafond de 100% d'honoraires facturables en chambre individuelle. En échange, l'assurance maladie assure des honoraires plus élevés pour les chirurgiens esthétiques. "Rien n'obligera les plasticiens à signer ces accords particuliers", réplique le porte-parole des chirurgiens plasticiens", Gaëtan Willemaert.