Tout sur Fédéral

La ministre en charge des Personnes en situation de handicap, Karine Lalieux, désire inscrire dans la loi l'obligation pour les futurs gouvernements fédéraux d'adopter un Plan d'actions Handicap à chaque législature, en lien étroit avec la société civile.

En dépit de toutes les mesures supplémentaires adoptées par les autorités, notamment pour soutenir le secteur pendant le covid, les hôpitaux généraux sont dans les difficultés jusqu'au cou. Le nombre d'hôpitaux qui tournent à perte ou se trouvent dans la zone de danger augmente.

En dépit de toutes les mesures supplémentaires adoptées par les autorités, notamment pour soutenir le secteur pendant le covid, les hôpitaux généraux sont dans les difficultés jusqu'au cou. Le nombre d'hôpitaux qui tournent à perte ou se trouvent dans la zone de danger augmente.

La semaine de la santé mentale se déroulera du 10 au 16 octobre prochain. L'occasion de parler de prévention dans un domaine qui a subi la crise de plein fouet, et de se pencher sur le suicide - dont la journée mondiale de prévention se déroulait le 10 septembre dernier - , véritable fléau en Belgique, et en particulier en Wallonie et chez les jeunes.

12 projets pilotes de soins intégrés ont été lancés en 2018 et 19 projets relatifs aux personnes âgées devaient prendre fin le 31 décembre de cette année. Le Comité de l'assurance de l'Inami a décidé d'ancrer encore davantage les soins intégrés dans le système belge grâce d'une part, à une nouvelle convention pour ces projets et d'autre part, au lancement d'un nouveau Plan interfédéral soins intégrés.

Un quart de siècle durant, beaucoup de ministres se sont succédé et tous ont campé sur leurs positions. Tant au niveau Fédéral que des entités fédérées. Il aura fallu attendre 25 ans pour voir un accord émerger. La Fédération Wallonie-Bruxelles transforme l'examen d'admission (numerus clausus) en un concours (numerus fixus) à partir de l'année prochaine.

Le président du GBO revient sur les acquis de l'accord médico-mut mais aussi sur les incertitudes nombreuses qui l'entourent: DMG étendu à d'autres classes d'âge, suppression de l'interdiction du tiers-payant et financement des gardes de semaine ainsi que la consultation à 30 euros font partie des grands acquis. L'absence d'indexation et les incertitudes notamment sur le financement des assistants de pratique font partie du revers de la médaille. Mais on ne peut pas tout avoir, rappelle ce vieux loup du syndicalisme.

L'accord de coopération entre le Fédéral et les Régions précise que le médecin traitant "peut communiquer l'éligibilité d'un patient à une vaccination prioritaire contre le Covid-19 car, en vertu de l'article 458 du Code pénal, il peut être dérogé au secret professionnel en vertu d'une loi, d'un décret ou d'une ordonnance". Le médecin ne communique aucun détail sur la pathologie elle-même. Le secret médical est donc préservé.

Cette stratégie de dépistage 2.0 repose sur trois piliers: les tests PCR classiques, le dépistage répétitif dans les milieux professionnels et - c'est une nouveauté - les autotests qui seront disponibles à partir du 6 avril prochain dans les pharmacies.

Cette stratégie de dépistage 2.0 repose sur trois piliers : les tests PCR classiques, le dépistage répétitif dans les milieux professionnels et - c'est une nouveauté - les autotests qui seront disponibles à partir du 6 avril prochain dans les pharmacies.

Le Dr André, médecin généraliste liégeois, raconte son vécu fait de contacts avec la Ville, la Province, le Fédéral, de réunions du FAGW, ses illusions/désillusions dans la recherche obstinée de matériel de protection qui rythment ses journées. Et son étonnement que " l'Inami et les ministres de tutelle ne soient pas à nos côtés pour travailler ensemble autrement que par des effets d'annonce ". Il pointe également le matériel manquant ou de mauvaise qualité. " Comment peut-on envoyer les soldats sans armes, avec comme seul moyen de s'en sortir (peut-être ? ), la débrouille et le sens des autres ? ", se demande-t-il.

Le Dr André, médecin généraliste liégeois, raconte son vécu fait de contacts avec la Ville, la Province, le Fédéral, de réunions du FAGW, ses illusions/désillusions dans la recherche obstinée de matériel de protection qui rythment ses journées. Et son étonnement que " l'Inami et les ministres de tutelle ne soient pas à nos côtés pour travailler ensemble autrement que par des effets d'annonce ". Il pointe également le matériel manquant ou de mauvaise qualité. "Comment peut-on envoyer les soldats sans armes, avec comme seul moyen de s'en sortir (peut-être ?), la débrouille et le sens des autres ?", se demande-t-il.

Valérie Victoor, secrétaire général de santhea, constate que de nombreux hôpitaux doivent faire appel au système D et aux bonnes volontés pour s'équiper en matériel de protection et en médicaments. Elle regrette que la task force "pénurie " n'écoute pas les acteurs de terrain.

Dans son mémorandum (1), la fédération Gibbis demande une simplification du cadre réglementaire. Celui-ci est actuellement décrié par les gestionnaires hospitaliers comme étant une des causes du malaise des blouses blanches.

Quels sont les problèmes de santé pour lesquels les besoins des patients et/ou de la société demeurent importants ? Comment déterminer les priorités de la recherche ? C'est pour répondre à ces questions que le Centre fédéral d'expertise de soins de santé (KCE) et Sciensano, avec plusieurs autres institutions fédérales, ont élaboré "NEED", un cadre identifiant les besoins non rencontrés en termes de santé.

Le comité de l'assurance de l'Inami examinera ce lundi une série de propositions de refinancement de la médecine générale du ministre Vandenbroucke pour un montant total de 55 millions d'euros tenant compte d'une partie du refinancement de la psychologie de 1ère ligne qui est censée collaborer au sein des cabinets des médecins généralistes... Mais il s'agit en réalité d'une série de promesses contenues dans l'accord médico-mut 2024-2025. L'Absym n'hésite pas à les qualifier de "poudre aux yeux" (lire encadré).