Aujourd'hui, on paraît aussi désarmé devant l'épidémie qu'il y a 100 ans et cela malgré des vagues incessantes de mesures dans tous les sens. Que l'Etat et les scientifiques n'aient d'autres armes que d'arrêter la vie normale et qu'à terme le remède paraît devoir tuer le malade, voilà sans doute l'explication des révoltes auxquelles on assiste un peu partout.