C'est une première mondiale: les drones, en provenance d'un centre médical de Dixmude, atterrissent sur le toit de l'hôpital. Les échantillons sont envoyés au labo sans intervention humaine non plus.
La prise en charge du syndrome du côlon irritable (SCI) ne cesse de bouger. Comme les mécanismes multifactoriels sous-jacents sont de mieux en mieux compris, le paysage thérapeutique évolue également.