Tout sur Dirk Bernard

2023 fut une année de croissance pour le fonds de pension Amonis, spécialiste de la pension pour les professions médicales. Les résultats financiers et commerciaux ont permis à Amonis d'offrir à ses affiliés un rendement net de 4,5 % en PLCI (Pension libre complémentaire pour indépendants), la PLCI sociale et en CPTI (Convention de pension pour travailleurs indépendants), et ce pour la troisième année consécutive.

"Nous faisons actuellement face à de nouveaux défis", explique Tom Mergaerts, Chief Executive Officer d'Amonis. "En plus de la situation dramatique en Ukraine, l'inflation galopante assombrit le tableau. Le rôle d'un fonds de pension ne se limite pas à accueillir l'épargne de ses membres, il est essentiel de la faire fructifier, mais aussi de préserver le pouvoir d'achat."

" Nous faisons actuellement face à de nouveaux défis ", explique Tom Mergaerts, Chief Executive Officer d'Amonis. " En plus de la situation dramatique en Ukraine, l'inflation galopante assombrit le tableau. Le rôle d'un fonds de pension ne se limite pas à accueillir l'épargne de ses membres, il est essentiel de la faire fructifier, mais aussi de préserver le pouvoir d'achat."

Le fonds de pension Amonis a accordé l'année passée un taux global net de 2,15% à ses trois produits de pension : la pension libre complémentaire sociale et ordinaire et la pension libre complémentaire pour indépendants personne physique. Le Dr Herwig Van Dijck a remis le 25 juin la présidence du fonds au Dr Dirk Bernard.

Le fonds de pension Amonis a accordé l'année passée un taux global net de 2,15% à ses trois produits de pension : la pension libre complémentaire sociale et ordinaire et la pension libre complémentaire pour indépendants personne physique. Le Dr Herwig Van Dijck a remis le 25 juin la présidence du fonds au Dr Dirk Bernard.

Médecine

Article du magazine

La cardiomyopathie est une maladie du muscle cardiaque, qui présente des anomalies structurelles et fonctionnelles, alors que le patient ne présente pas d'affections telles qu'une coronaropathie, une hypertension, une valvulopathie ou une malformation cardiaque congénitale suffisamment sévère pour pouvoir expliquer la souffrance du muscle cardiaque. Comme il existe un grand nombre de tableaux différents, les cardiomyopathies sont souvent désignées au pluriel.