Tout sur De Backer

L'étude EUROASPIRE et d'autres grandes études internationales mettent en évidence des différences entre les hommes et les femmes, au détriment de ces dernières, dans la prévention secondaire de la MCAS. Il s'agit principalement d'un manque d'exercice et d'un moins bon contrôle des troubles lipidiques, de l'obésité et du diabète. La question qui se pose est la suivante: peut-on expliquer ces différences liées au sexe et, le cas échéant, tirer des enseignements des explications trouvées?

" Le cadre officiel pour certains dispositifs médicaux a pris un coup d'accélérateur au cours des derniers mois. Des étapes importantes ont ainsi été franchies dans le domaine des applications numériques, et le cadre légal en matière de STHA est en préparation. Ces évolutions ouvrent la porte à des soins davantage basés sur des valeurs. "

" Nous avons l'impression de nous retrouver au début du mois de mars ", interpelle Thomas Orban, président du Collège de médecine générale. " Il y a le même sentiment d'urgence avec l'impression que le monde politique et que l'administration sont encore léthargiques. Ils risquent de se réveiller encore une fois trop tard. "

"Nous avons l'impression de nous retrouver au début du mois de mars", interpelle Thomas Orban, président du Collège de médecine générale. " Il y a le même sentiment d'urgence avec l'impression que le monde politique et que l'administration sont encore léthargiques. Ils risquent de se réveiller encore une fois trop tard."

La Première ministre a confirmé vers 16 h 00 que la bulle sociale est limitée à 5 personnes (toujours les mêmes) hors de la famille et à l'exception des enfants de moins de 12 ans. 10 personnes pour les mariages. Les courses dans les magasins doivent se faire seul + un enfant mineur qui vit sous notre toit ou une personne qui nécessite une aide. A l'étranger, la Première ministre demande d'y respecter les règles locales. Au niveau individuel, elle demande de prendre soins de soi-même et des autres.

Un consortium d'entreprises belges a mis au point une appli qui mémorise les " contacts rapprochés ", éventuelle source de contamination. Mais sa solution, pourtant présentée comme sécurisée et efficace, est écartée au profit du traçage " manuel " par téléphonistes. Les industriels râlent. Du côté politique, on dément tout blocage, mais on désire davantage d'éclaircissements avant de s'engager.

Un consortium d'entreprises belges a mis au point une appli qui mémorise les " contacts rapprochés ", éventuelle source de contamination. Mais sa solution, pourtant présentée comme sécurisée et efficace, est écartée au profit du traçage " manuel " par téléphoniste. Les industriels râlent. Du côté politique, on dément tout blocage, mais on désire davantage d'éclaircissements avant de s'engager.

Quels sont les problèmes de santé pour lesquels les besoins des patients et/ou de la société demeurent importants ? Comment déterminer les priorités de la recherche ? C'est pour répondre à ces questions que le Centre fédéral d'expertise de soins de santé (KCE) et Sciensano, avec plusieurs autres institutions fédérales, ont élaboré "NEED", un cadre identifiant les besoins non rencontrés en termes de santé.

La cellule de veille sanitaire du Collège de médecine générale de Belgique francophone (CMG) interpelle les pouvoirs publics au niveau fédéral et régional : "Les médecins généralistes sont empêchés de réaliser leur travail préventif et curatif lors d'une suspicion de coqueluche. La répartition des compétences entre niveaux de pouvoir complique la tâche."

Le comité de l'assurance de l'Inami examinera ce lundi une série de propositions de refinancement de la médecine générale du ministre Vandenbroucke pour un montant total de 55 millions d'euros tenant compte d'une partie du refinancement de la psychologie de 1ère ligne qui est censée collaborer au sein des cabinets des médecins généralistes... Mais il s'agit en réalité d'une série de promesses contenues dans l'accord médico-mut 2024-2025. L'Absym n'hésite pas à les qualifier de "poudre aux yeux" (lire encadré).