Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une maladie qui touche 5 à 10% des femmes en âge de procréer, ce qui en fait l'un des troubles hormonaux et reproductifs féminins les plus courants [1]. Au-delà d'un probable sous-rapportage, on sait que nombre de patientes ne sont diagnostiquées que plusieurs mois, voire plusieurs années après l'apparition des symptômes.