Tout sur CNMM

L'Absym a pris connaissance du rapport final du groupe de réflexion " Vers un New Deal pour le (cabinet de) médecin généraliste ". Après l'avoir analysé de manière approfondie, il lui apparaît que ses craintes se confirment : nombre d'éléments importants de ce texte sont soit incorrects soit absents.

Le dernier accord médico-mut comporte quelques dispositions curieuses. Elles suscitent d'autant plus d'intérêt qu'on n'en voit pas la nécessité. C'est ce qui suscite forcément des interrogations pour un juriste qui cherche toujours à donner un sens à des dispositions juridiques.

L'Absym annonce de grandes avancées en matière de financement des postes de garde. "Les craintes liées aux incertitudes budgétaires qui revenaient chaque année devraient trouver un apaisement."

Marc Moens oeuvre pour la défense de la profession depuis 1988, tout d'abord dans sa propre spécialité, la biologie clinique. L'int éressé est engagé par la Commission nationale médico-mutualiste (CNMM) en tant qu'expert, mais sans mandat à l'époque. Revenons, dans ce jdM, sur ses 30 ans de syndicalisme.

La campagne électorale a basculé vers le dénigrement, les attaques infondées, le déni des faits, la manipulation. Ces techniques sont bien connues et ressortent de la manipulation de l'opinion. Il en va ainsi dans une récente tribune de mon excellent confrère De Munck, qui, faute d'arguments positifs à présenter, sans doute, laisse transpirer une animosité plus que déplaisante. Trop c'est trop.

L'accord 2018-2019 annonce des initiatives dans trois domaines pour régler progressivement la problématique des suppléments d'honoraire, une "cause" qui tient fort à coeur aux mutuelles depuis des années.

Les mutuelles et le syndicats médicaux ont conclu ce lundi un accord pour les deux prochaines années. L'inami en dévoile les grandes lignes. Cet accord ne pourra être dénoncé que dans quelques situations particulières : en cas d'économies imposées unilatéralement, de non-octroi de l'indexation, d'extension du régime obligatoire du tiers payant et de modification de la loi en matière de suppléments.

La Commission nationale médico-mutualiste (CNMM) a conclu hier un accord pour le reste de l'année 2017. Entre autres, l'accord permet de garantir la sécurité tarifaire pour toutes les parties concernées jusqu'à la fin de l'année.

La réunion de concertation à l'Inami mercredi soir entre les partenaires médico-mutualistes et le chef de cabinet de Maggie De Block a débouché sur le gel de la demande de résolution (de plein droit) de l'accord médico-mut 2017 pour un mois. Les partenaires se revoient le 27 février prochain.

Le Cartel (et l'AADM mais seule la lettre recommandée du Cartel est arrivée à l'Inami) ont décidé de dénoncer de plein droit l'accord médico-mut. L'Absym devrait suivre mercredi soir lors de son conseil d'administration. En cause, les mesures d'économies unilatérales (et donc contraires à l'esprit de l'accord) décidées par le gouvernement avec la bienveillance des mutuelles. Conséquence : les tarifs des consultations et visites risquent prochainement d'être fixés librement mais le statut social n'est pas menacé.

La profession médicale est démocratiquement représentée, via ses syndicats, dans divers organes de concertation ayant trait aux soins de santé. La Commission nationale médico-mutualiste (CNMM) d'où provient l'accord qui y est négocié est de ceux-ci. Débats nécessaires et compromis permettent notamment d'y obtenir des décisions relativement équilibrées entre les parties.

La confiance aveugle accordée étonnamment par les médecins à leur ministre de tutelle s'écroule. En quelques mois, elle leur a semblé vouloir la fin de 50 ans de démocratie participative dans le secteur de la sécurité sociale, ce qui n'est peut-être pas si soudain dans les objectifs de certains politiques. Aujourd'hui, l'insécurité juridique menace l'avenir des accords.

La Commission nationale médico-mutualiste vient de fixer les honoraires des médecins applicables à partir du 1er janvier 2017. L'Inami présente ces dispositions.

Médecine

Clinical Update

Article du magazine

La prévalence de l'asthme est toujours en augmentation dans notre pays, et tout particulièrement chez les enfants au nord du sillon Sambre-et-Meuse - la faute en revient sans doute à une densité de population et à un degré de pollution atmosphérique plus élevés. Dans ce contexte, plus que jamais, le choix d'un traitement adapté et la garantie d'un bon suivi sont d'une importance majeure.