Tout sur CHRSM

" Apaiser, protéger, contenir et donner du répit " sont les quatre missions de l'unité " Okapi " du CHRSM - site Meuse, cellule psychologique axée sur les jeunes de 0 à 18 ans, intégrée au service de pédiatrie. Depuis le confinement, l'équipe croule sous les demandes pour prendre en charge en urgence des jeunes en danger. La problématique suicidaire y est fort présente.

Le CHRSM met en valeur le travail de l'asbl Filao, association créée fin 2020 par et pour des personnes en situation de handicap afin d'encourager l'inclusion de celles-ci dans la société. L'occasion de rappeler que l'hôpital, lieu public, a l'obligation, par décret, d'accueillir en son sein les personnes accompagnées de leur chien d'assistance.

Stéphane Rillaerts, directeur du CHRSM, partage son vécu de la cyberattaque qui a lieu dans l'institution namuroise le 26 mai dernier. Si l'hôpital s'en sort finalement bien, il estime que le secteur a manqué d'anticipation et que les autorités publiques ne prennent pas assez en compte la sécurité informatique des hôpitaux.

Le 1er septembre, le Dr Alexandre Hébert a remplacé le directeur général des affaires médicales de Vivalia, le Dr Pascal Pierre, dont le mandat arrivait à échéance le 31 août. Une nouvelle qui était connue depuis le mois de mai. Le nom de son remplaçant - en l'occurrence sa remplaçante - n'était pas connu au CHRSM - site Sambre où le Dalhemois occupait la place de directeur médical. Ce sera la tâche du Dr Sabrina Djadoun.

Victime le 26 mai dernier d'un ransomware (logiciel d'extorsion moyennant rançon), le Centre hospitalier régional Sambre et Meuse (CHRSM) a fait le point fin août. Ayant refusé de prendre même contact avec le hackeur suivant les recommandations des autorités, l'hôpital a analysé les 127 gigabytes de données de santé publiées de manière désordonnée sur le darkweb... "Il se confirme que les dossiers médicaux des patients n'ont pas été touchés."

La fin de mandat du directeur général des affaires médicales de Vivalia, le Dr Pascal Pierre, arrivait à échéance le 31 août. Le 1er septembre, le Dr Alexandre Hébert l'a remplacé. Une nouvelle qui était connue depuis le mois de mai. Le nom de son remplaçant - en l'occurrence sa remplaçante - n'était pas connu au CHRSM - site Sambre où le Dalhemois occupait la place de directeur médical. Ce sera le Dr Sabrina Djadoun. Présentation.

On entend de plus en plus parler des cyberattaques sur les hôpitaux. Loin d'être isolées, ces attaques ont aujourd'hui touché la majorité des hôpitaux belges. Tensions géopolitiques aidant, nous vivons aujourd'hui une période de cyberinsécurité dans laquelle beaucoup d'institutions se sentent démunies. La panacée ou le vaccin miracle n'existent pas. Heureusement, les instances fédérales et européennes ne restent pas sans réaction.

"On les verra de loin", s'est enthousiasmé Maxime Prévot (cdH), bourgmestre de Namur, non sans une pointe d'humour. "Manifestement, le service des urgences devait souffrir d'un manque de visibilité vu la hauteur des lettres que porte désormais le bâtiment." Mis à part ces lettres, le nouveau service propose évidemment bien d'autres atouts.

Le CHRSM a présenté la semaine dernière les travaux qui seront lancés sur le site Sambre ces prochaines années. Avec le soutien financier de l'Aviq, huit chantiers permettront de rénover et faire évoluer les infrastructures de l'hôpital, avec un accent mis sur l'économie d'énergie.

Contacter le CHR Sambre & Meuse (CHRSM) n'a été chose aisée dans ce dossier. L'institution ne souhaitait pas réagir avant que le dossier soit clos, du moins entre elle et le Dr Carlier. C'est désormais chose faite - à quelques détails près. Retour sur les événements avec une autre vision des faits, celle de Gilles Mouyard (MR), président du CHRSM.

Quels sont les problèmes de santé pour lesquels les besoins des patients et/ou de la société demeurent importants ? Comment déterminer les priorités de la recherche ? C'est pour répondre à ces questions que le Centre fédéral d'expertise de soins de santé (KCE) et Sciensano, avec plusieurs autres institutions fédérales, ont élaboré "NEED", un cadre identifiant les besoins non rencontrés en termes de santé.

Le comité de l'assurance de l'Inami examinera ce lundi une série de propositions de refinancement de la médecine générale du ministre Vandenbroucke pour un montant total de 55 millions d'euros tenant compte d'une partie du refinancement de la psychologie de 1ère ligne qui est censée collaborer au sein des cabinets des médecins généralistes... Mais il s'agit en réalité d'une série de promesses contenues dans l'accord médico-mut 2024-2025. L'Absym n'hésite pas à les qualifier de "poudre aux yeux" (lire encadré).