Le traitement des déchets hospitaliers de type B2, c'est-à-dire ceux comportant un risque de contamination ou de blessure, comme les seringues, se fait quasi exclusivement par incinération. Or, le potentiel de réemploi et de valorisation de la matière de certains types de déchets hospitaliers est bien réel. Un groupe de travail devrait être mis sur pied dans les prochaines semaines.