Tout sur AMS

Tout au long de la pandémie, Taïwan a considérablement limité le nombre de cas confirmés de Covid-19 et de décès dans le pays. Cela a conduit à des éloges et à une reconnaissance mondiale de ce qui a été surnommé le "modèle taïwanais" de prévention des pandémies. Néanmoins, en 2022, pour une variété de facteurs, notamment la variante virulente d'Omicron, Taïwan a été confronté à une augmentation du nombre de cas de Covid-19. Le ministre Chen présente ici le "nouveau modèle taïwanais" pour faire face à cette nouvelle réalité, tout en continuant à préserver la capacité des soins de santé et protéger les personnes vulnérables.

Tout au long de la pandémie, Taïwan a considérablement limité le nombre de cas confirmés de Covid-19 et de décès dans le pays. Cela a conduit à des éloges et à une reconnaissance mondiale de ce qui a été surnommé le "modèle taïwanais" de prévention des pandémies. Néanmoins, en 2022, pour une variété de facteurs, notamment la variante virulente d'Omicron, Taïwan a été confronté à une augmentation du nombre de cas de Covid-19. Dans cet éditorial, en plus d'exposer les facteurs structurels et l'utilisation de la technologie qui ont aidé Taïwan au cours des dernières années, le ministre Chen présente le " nouveau modèle taïwanais " pour faire face à cette nouvelle réalité, tout en continuant à préserver la capacité des soins de santé et protéger les personnes vulnérables.

Quels sont les problèmes de santé pour lesquels les besoins des patients et/ou de la société demeurent importants ? Comment déterminer les priorités de la recherche ? C'est pour répondre à ces questions que le Centre fédéral d'expertise de soins de santé (KCE) et Sciensano, avec plusieurs autres institutions fédérales, ont élaboré "NEED", un cadre identifiant les besoins non rencontrés en termes de santé.

Le comité de l'assurance de l'Inami examinera ce lundi une série de propositions de refinancement de la médecine générale du ministre Vandenbroucke pour un montant total de 55 millions d'euros tenant compte d'une partie du refinancement de la psychologie de 1ère ligne qui est censée collaborer au sein des cabinets des médecins généralistes... Mais il s'agit en réalité d'une série de promesses contenues dans l'accord médico-mut 2024-2025. L'Absym n'hésite pas à les qualifier de "poudre aux yeux" (lire encadré).