Quelque 250 personnes ont manifesté le 14 décembre, à l'appel d'Amnesty International et de diverses universités, devant l'ambassade d'Iran à Bruxelles contre la condamnation à mort prononcée par la justice iranienne à l'encontre de Ahmadreza Djalali, professeur de médecine invité à la Vrije Universiteit Brussel (VUB). "La situation de Djalali est très précaire", affirme Lore Van Welden, porte-parole d'Amnesty. "Maintenant plus que jamais, nous devons faire entendre nos voix et continuer à faire pression sur l'Iran."