"Les patients se sont retrouvés désemparés face à une affection sans traitement connu, appelés à se cloîtrer chez eux dans des villes fantômes, soumis à des bulletins d'actualités déversant en continu la progression des chiffres de contagion", témoigne le Dr Carl Vanwelde, MG à Anderlecht et professeur émérite de médecine générale.