De plus en plus de patientes atteintes d'un carcinome épithélial de l'ovaire reçoivent un inhibiteur de PARP (PARPi) comme premier traitement, après les résultats favorables des études SOLO1 (1), PAOLA-1 (2) et PRIMA/ENGOT-OV26/GOG-3012 (3). Elles ont montré que l'olaparib a allongé le délai jusqu'à récidive en cas d'atteinte avec mutation BRCA1/2, et que le niraparib a allongé la survie sans progression (PFS), indépendamment du statut de recombinaison homologue.