En une décennie, les inhibiteurs de tyrosine kinase (TKI) ont permis de faire de grands progrès dans la prise en charge des NSCLC avec mutation(s) de l'EGFR. L'osimertinib, TKI de 3e génération, est particulièrement prometteur.
Le myélome multiple indolent (MMI) se caractérise par une prolifération plasmocytaire asymptomatique exposant à un risque d'évolution vers un myélome multiple. Le risque d'évolution d'un MMI vers un MM est estimé être en moyenne de 10% par an au cours des 5 premières années (ce qui veut donc dire que 50% des patients n'évoluent pas pendant ces 5 ans), puis de 3% par an pendant les 5 années suivantes et enfin de 1% par an pendant la décennie suivante.
Chez les patients atteints d'un cancer bronchique non à petites cellules localement avancé non résécable, le durvalumab utilisé en traitement de consolidation améliore significativement la survie sans progression, et ce, sans augmentation des effets indésirables.
Le ribociclib, un anti CDK 4/6 (inhibiteur de kinases dépendantes de cyclines) toujours en développement, administré en complément de l'anti-aromatase létrozole, améliore la survie sans progression de 44%.