Jusqu'à 50 % des patients atteints de cancer prennent des anti-acides (inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) ou inhibiteurs des récepteurs H2 de l'histamine), en même temps que leur traitement anti-cancéreux. Or, les indices s'accumulent suggérant que certains médicaments anticancéreux sont moins bien absorbés sous anti-acides. C'est le cas du pazopanib.