Dans cette étude de phase III, multicentrique, contrôlée et randomisée, 467 patients ayant un cancer urothélial localement avancé ou métastatique et une récidive après un traitement antérieur à base de platine ont été traités par l'atézolizumab (1.200 mg) tandis que 464 étaient traités par une chimiothérapie classique (vinflunine 320 mg/m2, paclitaxel 175 mg/m2, ou docétaxel 75 mg/m2 selon la préférence de l'investigateur) administrée par voie intraveineuse toutes les trois semaines.