Bien que les chances de survie à un cancer du sein soient élevées, les métastases peuvent les réduire considérablement. Une nouvelle étude menée par l'équipe de la Pr Dre Sarah-Maria Fendt (VIB-KU Leuven Centrum voor Kankerbiologie) et ses partenaires internationaux démontre comment les niveaux fluctuants de la protéine PHGDH permettent aux cellules du cancer du sein de migrer à travers le corps. Les résultats ont été publiés dans l'éminente revue Nature.