Tout sur Eric Pujade-Lauraine

De plus en plus de patientes atteintes d'un carcinome épithélial de l'ovaire reçoivent un inhibiteur de PARP (PARPi) comme premier traitement, après les résultats favorables des études SOLO1 (1), PAOLA-1 (2) et PRIMA/ENGOT-OV26/GOG-3012 (3). Elles ont montré que l'olaparib a allongé le délai jusqu'à récidive en cas d'atteinte avec mutation BRCA1/2, et que le niraparib a allongé la survie sans progression (PFS), indépendamment du statut de recombinaison homologue.