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Les adénocarcinomes oesophagiens, particulièrement ceux dans cette région-là étaient en effet très rares il y a 40 ans, mais sont actuellement au nombre de 15 000 par an. Or, ce cancer est de pronostic généralement mauvais. Et il y a eu peu d'avancées thérapeutiques en la matière pour ce cancer que l'on estime lié au reflux gastro-oesophagien. On suppose que l'augmentation de ces cancers est liée à l'épidémie d'obésité. Des chercheurs, analysant le génome des cellules d'échantillons cancéreux de 149 patients, ont trouvé des changements dans l'ADN que l'on ne trouve pas dans d'autres types de cancers.