L'université de Hasselt, le Limburgs Kankerfonds et Stop Darmkanker ont annoncé la nouvelle le 4 février dernier, à l'occasion de la Journée mondiale contre le cancer.

Dans le cadre de la Chaire, le Pr Christel Faes (titulaire de la Chaire) et l'équipe du Pr Niel Hens (directeur du Data Science Institute UHasselt) vont consacrer les trois prochaines années à développer un "tableau de bord" regroupant un maximum de données disponibles sur le cancer colorectal. L'objectif est de pouvoir l'utiliser ensuite pour d'autres cancers.

Les chercheurs souhaitent également collecter des données par eux-mêmes, par exemple en interrogeant les citoyens sur les raisons qui les incitent à (ne pas) participer aux programmes de dépistage du cancer colorectal. Ce dépistage contribue à la détection du cancer colorectal parmi les hommes et les femmes âgés de 50 à 74 ans, au moyen d'un test à réaliser à domicile.

Les chercheurs veulent par ailleurs analyser l'impact potentiel d'une extension du dépistage à une population plus jeune ou plus âgée.

Le choix du mois de mars pour le lancement de cette Chaire ne doit rien au hasard, puisqu'il s'agit du mois international de sensibilisation au cancer colorectal.

L'université de Hasselt, le Limburgs Kankerfonds et Stop Darmkanker ont annoncé la nouvelle le 4 février dernier, à l'occasion de la Journée mondiale contre le cancer. Dans le cadre de la Chaire, le Pr Christel Faes (titulaire de la Chaire) et l'équipe du Pr Niel Hens (directeur du Data Science Institute UHasselt) vont consacrer les trois prochaines années à développer un "tableau de bord" regroupant un maximum de données disponibles sur le cancer colorectal. L'objectif est de pouvoir l'utiliser ensuite pour d'autres cancers.Les chercheurs souhaitent également collecter des données par eux-mêmes, par exemple en interrogeant les citoyens sur les raisons qui les incitent à (ne pas) participer aux programmes de dépistage du cancer colorectal. Ce dépistage contribue à la détection du cancer colorectal parmi les hommes et les femmes âgés de 50 à 74 ans, au moyen d'un test à réaliser à domicile.Les chercheurs veulent par ailleurs analyser l'impact potentiel d'une extension du dépistage à une population plus jeune ou plus âgée.Le choix du mois de mars pour le lancement de cette Chaire ne doit rien au hasard, puisqu'il s'agit du mois international de sensibilisation au cancer colorectal.