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Syndrome des ovaires polykystiques : un gène mis en cause
Des scientifiques américains ont découvert qu'environ 50% des femmes atteintes du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) détiennent certaines variations d'un gène lié à la production de testostérone. Une trouvaille importante pour comprendre le mécanisme en jeu et ouvrir la voie à un traitement de ce syndrome.
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