La prévalence de l'embolie pulmonaire (EP), lorsqu'elle est suspectée au départ d'un nouveau cas potentiel, semble avoir baissé depuis une vingtaine d'années en Europe et aux États-Unis notamment. Pourtant, elle y reste la troisième cause de mortalité cardiovasculaire. Mais derrière cette apparente bonne nouvelle se cache un défi diagnostique, comme l'expliquait la Pre Andrea Penaloza (Cliniques Saint-Luc, UCLouvain) dans un exposé tenu dans le cadre du congrès 2022 Back to Med School [1].
DOSSIER CARDIOLOGIE