Une soixantaine de personnalités (lire en page 31), menée, entre autres, par le Pr Pierre-François Laterre, chef de service des soins intensifs aux Cliniques universitaires St-Luc et le Pr Bernard Rentier, professeur de virologie honoraire et recteur honoraire de l'ULiège, estiment que " confiner les personnes saines n'a aucun fondement scientifique, et confiner les personnes malades avec les personnes saines aura pu favoriser les contaminations entre personnes vivant sous le même toit ". Les signataires réclament dans une pétition adressée aux responsables politiques la mise sur pied " urgente de nouveaux groupes de travail qui puissent enfin proposer des mesures scientifiquement prouvées efficaces, proportionnées au regard des autres problèmes de société et de santé publique, sans effets collatéraux néfastes et dans le respect de l'état de droit, de la démocratie et des libertés individuelles ".

Quant à l'arsenal thérapeutique, il se fait attendre. L'équipe " Recherche " de l'ULB a fait le point cette semaine lors d'une journée d'information sur les traitements actuels et futurs sur le Sras-Cov-2, avec entre autres les vaccins. A entendre les experts, la plupart des thérapies se révèlent peu efficaces (lire en pages 8-9 et 10).

Il faudra donc encore du temps, des années pour les plus pessimistes pour vaincre le Sras-Cov-2. Mais la grande rentrée du pays ne peut pas être indéfiniment postposée. Croisons les doigts.

Une soixantaine de personnalités (lire en page 31), menée, entre autres, par le Pr Pierre-François Laterre, chef de service des soins intensifs aux Cliniques universitaires St-Luc et le Pr Bernard Rentier, professeur de virologie honoraire et recteur honoraire de l'ULiège, estiment que " confiner les personnes saines n'a aucun fondement scientifique, et confiner les personnes malades avec les personnes saines aura pu favoriser les contaminations entre personnes vivant sous le même toit ". Les signataires réclament dans une pétition adressée aux responsables politiques la mise sur pied " urgente de nouveaux groupes de travail qui puissent enfin proposer des mesures scientifiquement prouvées efficaces, proportionnées au regard des autres problèmes de société et de santé publique, sans effets collatéraux néfastes et dans le respect de l'état de droit, de la démocratie et des libertés individuelles ". Quant à l'arsenal thérapeutique, il se fait attendre. L'équipe " Recherche " de l'ULB a fait le point cette semaine lors d'une journée d'information sur les traitements actuels et futurs sur le Sras-Cov-2, avec entre autres les vaccins. A entendre les experts, la plupart des thérapies se révèlent peu efficaces (lire en pages 8-9 et 10). Il faudra donc encore du temps, des années pour les plus pessimistes pour vaincre le Sras-Cov-2. Mais la grande rentrée du pays ne peut pas être indéfiniment postposée. Croisons les doigts.