Tout sur Université de Yale

Des chercheurs américains ont identifié le neurotransmetteur mGluR5 comme biomarqueur biologique qui pourrait aider à diagnostiquer plus efficacement les individus souffrant du syndrome de stress post-traumatique (SSPT) ou d'un trouble dépressif majeur (TDM), et à gérer le risque potentiel de suicide chez ces personnes.

Dernière classe thérapeutique mise sur le marché, les gliflozines (inhibiteurs ducotransporteur sodium-glucose de type 2), ont généré des résultats qui ont largement contribué à la mise en question de certaines de nos pratiques en matière de prise en charge des diabétiques de type 2 avec atteinte cardiaque. C'est tout particulièrement vrai pour l'empagliflozine utilisée dans l'étude randomisée contrôlée de phase 3 EMPA-REG OUTCOME.

Depuis les années '80, on constate une augmentation des cas de tuberculose dans le monde en liaison avec le VIH. Plus récemment, le diabète s'est révélé être un facteur de risque important de la tuberculose, deux constats épidémiologiques majeurs qui ont mené des chercheurs de l'Université de Yale à mettre sur pied une étude destinée à évaluer l'impact conjugué du VIH et du diabète sur le risque de tuberculose.

Une analyse de très grande envergure, partant sur un nombre conséquent d'études d'observation a été réalisée avec le soutien de l'US Department of Veterans Affairs dans le but d'évaluer les effets cliniques d'un traitement par le metformine chez des patients avec un diabète de type 2, associé à des pathologies qui ont longtemps constitué une contre-indication à l'utilisation de ce type de biguanide hypoglycémiant. Conclusion : cette approche thérapeutique apporte des bénéfices cliniques majeurs chez ce type de patients.