Les 'affaires' n'épargnent pas la sphère thérapeutique. Dernière en date, celle concernant l'anti-épileptique valproate. Si ces affaires sont malheureuses pour les victimes, femmes et enfants, ainsi que pour la confiance dans le corps médical, les autorités sanitaires et l'industrie, elles ont aussi l'avantage de réveiller la vigilance des professionnels de la santé, ici les neurologues. Pour preuves, nombres de présentations lors des sessions dédiées à la prise en charge de l'épilepsie étaient consacrées à l'impact des traitements sur la grossesse. La preuve avec cette étude sur le risque d'avortements spontanés.