Il s'agit d'une étude de cohorte prospective qui a inclus 519 patients souffrant d'une SpA en adéquation avec les critères diagnostiques de New York modifiés. Il s'agissait, pour les 3/4, d'hommes, l'âge moyen des participants était de 41 ans en moyenne et leurs symptômes évoluaient depuis 17 ans en général. Les AINS étaient prescrits dans 66% des cas et 46% des patients étaient sous anti-TNF. Pour cette étude, la progression radiologique était mesurée via le calcul du score mSASSS (Stoke Ankylosing Spondylitis Spine Score modifié).

Après 4 années de suivi, on observe une progression radiologique plus lente lorsque les anti-TNF sont associés à des doses élevées d'AINS. Lorsqu'on examine les résultats en fonction du type d'AINS utilisé, on constate que la plus forte réduction sur la progression radiographique est obtenue en cas de recours au celecoxib et ce dès la seconde année de traitement. Une amélioration qui se poursuit au même rythme jusqu'à 4 ans de suivi.

Ref: Gensler LS et al. OP0198, EULAR 2018.

Il s'agit d'une étude de cohorte prospective qui a inclus 519 patients souffrant d'une SpA en adéquation avec les critères diagnostiques de New York modifiés. Il s'agissait, pour les 3/4, d'hommes, l'âge moyen des participants était de 41 ans en moyenne et leurs symptômes évoluaient depuis 17 ans en général. Les AINS étaient prescrits dans 66% des cas et 46% des patients étaient sous anti-TNF. Pour cette étude, la progression radiologique était mesurée via le calcul du score mSASSS (Stoke Ankylosing Spondylitis Spine Score modifié). Après 4 années de suivi, on observe une progression radiologique plus lente lorsque les anti-TNF sont associés à des doses élevées d'AINS. Lorsqu'on examine les résultats en fonction du type d'AINS utilisé, on constate que la plus forte réduction sur la progression radiographique est obtenue en cas de recours au celecoxib et ce dès la seconde année de traitement. Une amélioration qui se poursuit au même rythme jusqu'à 4 ans de suivi. Ref: Gensler LS et al. OP0198, EULAR 2018.