Le Royaume-Uni va débloquer une enveloppe de 3,1 millions de livres sterling (environ 3,6 millions d'euros) pour lutter contre l'épidémie de mpox en République démocratique du Congo (RDC), a annoncé mercredi le ministre britannique chargé de l'Afrique, Lord Collins, lors d'une visite à l'Institut national de recherche biomédicale (INRB) à Kinshasa.
Ce financement, octroyé dans le cadre d'un partenariat avec l'Unicef, permettra de venir en aide à plus de 4,4 millions de personnes au sein des communautés affectées par l'épidémie. Cette aide contribuera également aux efforts visant à prévenir la propagation de la maladie aux pays limitrophes, a souligné M. Collins.
D'après l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), la RDC a enregistré près de 15.000 cas suspects de mpox depuis le début de l'année, dont environ 500 décès.
Un bénéfice qui dépasse la RDC
Face à l'émergence d'un nouveau variant du virus, l'OMS a récemment déclaré l'état d'urgence sanitaire mondiale, soulignant le risque sanitaire que celui-ci représente pour plusieurs pays. L'organisation a également fait état de plus de 20.770 cas de choléra recensés en RDC au cours des sept premiers mois de 2024, ainsi que de flambées épidémiques similaires en Éthiopie, en Zambie et au Zimbabwe.
"En travaillant en étroite collaboration avec nos partenaires et en nous appuyant sur l'expertise et le dévouement des scientifiques congolais (...), notre soutien jouera un rôle crucial dans la protection de la santé publique mondiale", a appuyé Lord Collins lors de sa visite à Kinshasa. "En protégeant la santé et le bien-être des communautés en RDC et en contribuant à endiguer les épidémies, nous réduisons le risque de propagation de la maladie, ce qui est bénéfique pour tout le monde", a-t-il conclu.
Ce financement, octroyé dans le cadre d'un partenariat avec l'Unicef, permettra de venir en aide à plus de 4,4 millions de personnes au sein des communautés affectées par l'épidémie. Cette aide contribuera également aux efforts visant à prévenir la propagation de la maladie aux pays limitrophes, a souligné M. Collins.D'après l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), la RDC a enregistré près de 15.000 cas suspects de mpox depuis le début de l'année, dont environ 500 décès.Face à l'émergence d'un nouveau variant du virus, l'OMS a récemment déclaré l'état d'urgence sanitaire mondiale, soulignant le risque sanitaire que celui-ci représente pour plusieurs pays. L'organisation a également fait état de plus de 20.770 cas de choléra recensés en RDC au cours des sept premiers mois de 2024, ainsi que de flambées épidémiques similaires en Éthiopie, en Zambie et au Zimbabwe."En travaillant en étroite collaboration avec nos partenaires et en nous appuyant sur l'expertise et le dévouement des scientifiques congolais (...), notre soutien jouera un rôle crucial dans la protection de la santé publique mondiale", a appuyé Lord Collins lors de sa visite à Kinshasa. "En protégeant la santé et le bien-être des communautés en RDC et en contribuant à endiguer les épidémies, nous réduisons le risque de propagation de la maladie, ce qui est bénéfique pour tout le monde", a-t-il conclu.