Le nouveau système de drones fonctionne de manière entièrement automatique. Il combine la technologie 5G avec un port d'atterrissage de drones de haute technologie, situé sur le toit de l'hôpital.

Concrètement, une infirmière du Centre médical à Dixmude place les échantillons de sang dans l'engin volant qui, grâce à une connexion 5G privée, prend la direction de l'hôpital. A Ypres, le port d'atterrissage des drones est connecté au laboratoire de biologie clinique via un système de 'tube pneumatique': personne ne doit aller chercher les échantillons sur le toit. Cette automatisation rend le transport plus rapide et plus efficace, et réduit également le risque d'erreur humaine.

L'hôpital Jan Yperman à Ypres.

"La rapidité est très importante pour la qualité des soins de santé", selon Caroline Gheysen, directrice de l'innovation, de la politique, de l'information et des réseaux à l'hôpital Jan Yperman. "Grâce à cette technologie, nous pouvons aider les patients du Westhoek plus rapidement et de manière plus durable. Là où les prélèvements sanguins urgents sont aujourd'hui souvent transportés par taxi, les drones offriront à terme une alternative plus rapide et moins coûteuse. Grâce aux subventions fédérales, nous avons pu réaliser ce projet à moindre coût. Nous sommes fiers de réaliser cette première mondiale."

Les drones utilisés lors des vols d'essai sont spécifiquement conçus pour effectuer des transports médicaux. Des pilotes ne sont pas nécessaires, mais ils restent à proximité pour contrôle. Les engins, qui volent à une vitesse moyenne de 60 km/h, resteront au sol en cas de mauvais temps. Des parachutes et des systèmes d'autorotation devraient permettre un atterrissage en toute sécurité en cas de problèmes de moteur.

Etendre le concept à d'autres lieux et échantillons

Toutes les communes situées le long de l'itinéraire de vol ont donné leur accord pour les vols d'essai, qui se déroulent également en concertation avec les autorités aéronautiques et le contrôle du trafic aérien. Les vols sont également complètement séparés du reste du trafic aérien. L'hôpital va étudier la possibilité d'étendre le système à d'autres campus, centres médicaux ou hôpitaux. L'objectif est d'étudier si, à l'avenir, les tissus, les médicaments, les préparations de chimiothérapie et les poches de sang, par exemple, peuvent également être transportés par des drones.

"Grâce au soutien du gouvernement fédéral et à l'engagement de nombreux partenaires, nous construisons un avenir où les drones permettront non seulement d'accélérer les diagnostics, mais aussi de sauver des vies en livrant des médicaments et des défibrillateurs", s'est réjouie la ministre fédérale des Télécommunications, Petra De Sutter (Groen).

Le nouveau système de drones fonctionne de manière entièrement automatique. Il combine la technologie 5G avec un port d'atterrissage de drones de haute technologie, situé sur le toit de l'hôpital.Concrètement, une infirmière du Centre médical à Dixmude place les échantillons de sang dans l'engin volant qui, grâce à une connexion 5G privée, prend la direction de l'hôpital. A Ypres, le port d'atterrissage des drones est connecté au laboratoire de biologie clinique via un système de 'tube pneumatique': personne ne doit aller chercher les échantillons sur le toit. Cette automatisation rend le transport plus rapide et plus efficace, et réduit également le risque d'erreur humaine."La rapidité est très importante pour la qualité des soins de santé", selon Caroline Gheysen, directrice de l'innovation, de la politique, de l'information et des réseaux à l'hôpital Jan Yperman. "Grâce à cette technologie, nous pouvons aider les patients du Westhoek plus rapidement et de manière plus durable. Là où les prélèvements sanguins urgents sont aujourd'hui souvent transportés par taxi, les drones offriront à terme une alternative plus rapide et moins coûteuse. Grâce aux subventions fédérales, nous avons pu réaliser ce projet à moindre coût. Nous sommes fiers de réaliser cette première mondiale."Les drones utilisés lors des vols d'essai sont spécifiquement conçus pour effectuer des transports médicaux. Des pilotes ne sont pas nécessaires, mais ils restent à proximité pour contrôle. Les engins, qui volent à une vitesse moyenne de 60 km/h, resteront au sol en cas de mauvais temps. Des parachutes et des systèmes d'autorotation devraient permettre un atterrissage en toute sécurité en cas de problèmes de moteur.Toutes les communes situées le long de l'itinéraire de vol ont donné leur accord pour les vols d'essai, qui se déroulent également en concertation avec les autorités aéronautiques et le contrôle du trafic aérien. Les vols sont également complètement séparés du reste du trafic aérien. L'hôpital va étudier la possibilité d'étendre le système à d'autres campus, centres médicaux ou hôpitaux. L'objectif est d'étudier si, à l'avenir, les tissus, les médicaments, les préparations de chimiothérapie et les poches de sang, par exemple, peuvent également être transportés par des drones."Grâce au soutien du gouvernement fédéral et à l'engagement de nombreux partenaires, nous construisons un avenir où les drones permettront non seulement d'accélérer les diagnostics, mais aussi de sauver des vies en livrant des médicaments et des défibrillateurs", s'est réjouie la ministre fédérale des Télécommunications, Petra De Sutter (Groen).