"Nous sommes particulièrement satisfaits que les réformes que nous proposons soient largement conformes aux plans figurant dans l'accord de gouvernement et dans les investissements que le nouveau gouvernement réalisera dans le secteur des soins de santé", déclare le Comité de l'assurance, structure composée des représentants des mutualités, prestataires et établissements de soins de santé.

Les 22 représentants des organismes assureurs ont voté pour la proposition de budget. Sur le banc des prestaires de soins et établissements de soins, il y a eu sept abstentions, un vote "contre", trois absences et onze votes "pour".

Pour 2021, le budget disponible pour les soins de santé représentera plus de 30 milliards d'euros. "C'est nettement plus qu'en 2020. Le gouvernement a prévu 1,2 milliard d'euros supplémentaires pour renforcer le personnel, améliorer sa rémunération et étendre le remboursement des soins de santé mentale. De plus, des fonds ont également été libérés pour lutter contre la pandémie de Covid-19 et le déficit estimé à 539 millions d'euros a été ajusté ", s'enthousiasment les représentants des mutuelles et la majorité des représentants des prestataires et établissements de soins.

Les représentants des mutualités et des prestataires de soins de santé ont rendu cet avis positif à une large majorité. "Non seulement parce que nous voulons aller de l'avant pendant la plus grande crise sanitaire qui ait jamais frappé notre pays, mais aussi parce que nous croyons qu'avec ce gouvernement et la trajectoire de croissance qu'il propose, il devrait être possible de mettre en oeuvre de grandes réformes, comme celles proposées par le Comité de l'assurance depuis plusieurs années."

Pour rappel, l'accord de gouvernement prévoit une norme de croissance de 2,5 % pour les soins de santé à partir de 2022, contre 1,5 % dans la précédente législature. "Cela peut faire toute la différence, d'autant plus que cet argent est également destiné à la réalisation d'objectifs de soins de santé et au lancement de nouvelles initiatives visant à augmenter le nombre d'années de vie en bonne santé de chaque citoyen, ainsi qu'à réduire les inégalités en santé. En mettant encore plus l'accent sur une collaboration efficace et efficiente entre les prestataires de soins, nous pouvons mieux aligner la politique de santé sur les besoins réels du citoyen et du patient. Ces mesures s'appuieront sur une vision large de la santé. Ce principe figure également dans l'accord de gouvernement."

Pour les membres du Comité de l'assurance, le test de résistance de notre système face au Covid-19 a confirmé que le secteur peut encore évoluer davantage vers des soins intégrés. " Il doit s'engager plus encore dans la prévention et dans les modèles de financement adaptés qui soutiennent la collaboration et la multidisciplinarité au profit du patient. "

"Pour que nos soins de santé soient armés face à l'avenir, nous devons entamer aujourd'hui des réformes fondamentales. Le Comité de l'assurance veut aussi apporter sa pierre à l'édifice. Grâce à leur expertise sur le terrain, les mutualités, les prestataires de soins et les établissements de soins sont en excellente position pour orienter les projets. Le budget jouera un rôle important à cet égard. L'objectif est d'élaborer des plans pluriannuels et d'affecter les moyens en vue d'obtenir des soins efficaces et de réaliser les objectifs de santé. Tout cela requiert une trajectoire budgétaire bien définie", communique le comité.

Cet avis positif a été transmis au Conseil général de l'Inami (où siègent, outre les mutualités, les partenaires sociaux et le gouvernement). Il rendra son avis final la semaine prochaine.

"Nous sommes particulièrement satisfaits que les réformes que nous proposons soient largement conformes aux plans figurant dans l'accord de gouvernement et dans les investissements que le nouveau gouvernement réalisera dans le secteur des soins de santé", déclare le Comité de l'assurance, structure composée des représentants des mutualités, prestataires et établissements de soins de santé.Les 22 représentants des organismes assureurs ont voté pour la proposition de budget. Sur le banc des prestaires de soins et établissements de soins, il y a eu sept abstentions, un vote "contre", trois absences et onze votes "pour".Pour 2021, le budget disponible pour les soins de santé représentera plus de 30 milliards d'euros. "C'est nettement plus qu'en 2020. Le gouvernement a prévu 1,2 milliard d'euros supplémentaires pour renforcer le personnel, améliorer sa rémunération et étendre le remboursement des soins de santé mentale. De plus, des fonds ont également été libérés pour lutter contre la pandémie de Covid-19 et le déficit estimé à 539 millions d'euros a été ajusté ", s'enthousiasment les représentants des mutuelles et la majorité des représentants des prestataires et établissements de soins. Les représentants des mutualités et des prestataires de soins de santé ont rendu cet avis positif à une large majorité. "Non seulement parce que nous voulons aller de l'avant pendant la plus grande crise sanitaire qui ait jamais frappé notre pays, mais aussi parce que nous croyons qu'avec ce gouvernement et la trajectoire de croissance qu'il propose, il devrait être possible de mettre en oeuvre de grandes réformes, comme celles proposées par le Comité de l'assurance depuis plusieurs années." Pour rappel, l'accord de gouvernement prévoit une norme de croissance de 2,5 % pour les soins de santé à partir de 2022, contre 1,5 % dans la précédente législature. "Cela peut faire toute la différence, d'autant plus que cet argent est également destiné à la réalisation d'objectifs de soins de santé et au lancement de nouvelles initiatives visant à augmenter le nombre d'années de vie en bonne santé de chaque citoyen, ainsi qu'à réduire les inégalités en santé. En mettant encore plus l'accent sur une collaboration efficace et efficiente entre les prestataires de soins, nous pouvons mieux aligner la politique de santé sur les besoins réels du citoyen et du patient. Ces mesures s'appuieront sur une vision large de la santé. Ce principe figure également dans l'accord de gouvernement."Pour les membres du Comité de l'assurance, le test de résistance de notre système face au Covid-19 a confirmé que le secteur peut encore évoluer davantage vers des soins intégrés. " Il doit s'engager plus encore dans la prévention et dans les modèles de financement adaptés qui soutiennent la collaboration et la multidisciplinarité au profit du patient. ""Pour que nos soins de santé soient armés face à l'avenir, nous devons entamer aujourd'hui des réformes fondamentales. Le Comité de l'assurance veut aussi apporter sa pierre à l'édifice. Grâce à leur expertise sur le terrain, les mutualités, les prestataires de soins et les établissements de soins sont en excellente position pour orienter les projets. Le budget jouera un rôle important à cet égard. L'objectif est d'élaborer des plans pluriannuels et d'affecter les moyens en vue d'obtenir des soins efficaces et de réaliser les objectifs de santé. Tout cela requiert une trajectoire budgétaire bien définie", communique le comité.Cet avis positif a été transmis au Conseil général de l'Inami (où siègent, outre les mutualités, les partenaires sociaux et le gouvernement). Il rendra son avis final la semaine prochaine.