...

Ces 8% représentent la valeur seuil pour laquelle cette amélioration est notée. C'est ce que montre une étude menée pendant 4 mois sur 113 ados obèses vivant en milieu urbain. Au début de l'étude, l'IMC moyen des ados concernés était de 37,1, c'est-à-dire correspondant à une obésité sévère. Aucun n'était diabétique, mais leur obésité en faisait des sujets à risque élevé à cet égard. Il ne faut donc pas des pertes de poids considérables pour noter une amélioration sensible à ce niveau. " A mesure que plus de programmes de perte de poids pour adolescents obèses seront mis au point, il sera important de fixer des objectifs raisonnables en la matière, de façon à engendrer des améliorations dans les facteurs de risque de maladies métaboliques et cardiovasculaires ", concluent les auteurs. (référence : Abrams P et al. Journal of Pediatrics. 2013;doi:10.1016/j.jpeds.2013.04.003)