Les chercheurs américains ont investigué 183 études concernant des symptômes dépressifs parmi des étudiants en médecine de 43 pays, de différentes parties du monde. Toutes les études portent sur des auto-déclarations.-

Plus du quart des répondants ont des plaintes liées à la dépression (27,2%). Ce qui place la prévalence des symptômes dépressifs pour les étudiants en médecine nettement au-dessus de ceux de la population en général.

La prévalence de ces symptômes reste relativement constante durant toute la période d'étude. Les chiffres de la phase préclinique et clinique montrent peu de différence. Seulement un étudiant en médecine sur six dépisté pour dépression recherche une aide psychiatrique.

Suicide

Dans une deuxième phase de recherche, l'équipe s'est penchée sur 24 études en provenance de 15 pays concernant la prévention du suicide également chez les étudiants en médecine. Il s'agissait également d'auto-déclarations. 11% des participants présentent des signes de pensée suicidaire.

Un vrai signal pour suivre davantage la santé mentale des étudiants, conclut le chercheur Stuart Slavin.

Les chercheurs américains ont investigué 183 études concernant des symptômes dépressifs parmi des étudiants en médecine de 43 pays, de différentes parties du monde. Toutes les études portent sur des auto-déclarations.-Plus du quart des répondants ont des plaintes liées à la dépression (27,2%). Ce qui place la prévalence des symptômes dépressifs pour les étudiants en médecine nettement au-dessus de ceux de la population en général.La prévalence de ces symptômes reste relativement constante durant toute la période d'étude. Les chiffres de la phase préclinique et clinique montrent peu de différence. Seulement un étudiant en médecine sur six dépisté pour dépression recherche une aide psychiatrique.Dans une deuxième phase de recherche, l'équipe s'est penchée sur 24 études en provenance de 15 pays concernant la prévention du suicide également chez les étudiants en médecine. Il s'agissait également d'auto-déclarations. 11% des participants présentent des signes de pensée suicidaire.Un vrai signal pour suivre davantage la santé mentale des étudiants, conclut le chercheur Stuart Slavin.