La dernière réunion du CNT remonte au 27 juillet. Il avait alors décidé de faire marche arrière dans le processus de déconfinement, face à un rebond des cas de coronavirus dans notre pays, et singulièrement en province d'Anvers, en limitant notamment la bulle sociale de 15 personnes différentes par semaine à cinq personnes, toujours les mêmes, pendant quatre semaines.

Une nouvelle réunion du CNT, si elle se tient la semaine prochaine, pourrait, le cas échéant, décider d'élargir cette bulle de cinq. "C'est vraiment une question politique car il n'y a pas d'étude scientifique qui prouve son efficacité. Je pense qu'on peut élargir la bulle et aussi permettre de faire ses courses à plusieurs durant plus de 30 minutes. Il pourrait y avoir un relâchement sur ces deux mesures", estime le médecin épidémiologiste Yves Coppieters, cité par Sudpresse. "Par contre, il faut agir sur trois autres points. On a besoin de stimuler: le télétravail, le masque/les gestes barrières et le dépistage actif de toutes les personnes revenant de l'étranger", poursuit le spécialiste.

La dernière réunion du CNT remonte au 27 juillet. Il avait alors décidé de faire marche arrière dans le processus de déconfinement, face à un rebond des cas de coronavirus dans notre pays, et singulièrement en province d'Anvers, en limitant notamment la bulle sociale de 15 personnes différentes par semaine à cinq personnes, toujours les mêmes, pendant quatre semaines. Une nouvelle réunion du CNT, si elle se tient la semaine prochaine, pourrait, le cas échéant, décider d'élargir cette bulle de cinq. "C'est vraiment une question politique car il n'y a pas d'étude scientifique qui prouve son efficacité. Je pense qu'on peut élargir la bulle et aussi permettre de faire ses courses à plusieurs durant plus de 30 minutes. Il pourrait y avoir un relâchement sur ces deux mesures", estime le médecin épidémiologiste Yves Coppieters, cité par Sudpresse. "Par contre, il faut agir sur trois autres points. On a besoin de stimuler: le télétravail, le masque/les gestes barrières et le dépistage actif de toutes les personnes revenant de l'étranger", poursuit le spécialiste.